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Saucisses BARBECUE offertes !!!!

promotion saucisses offertes à l'achat d'un colis de viande de l'Elevage de la Petite Suisse

Saucisses Barbecue offertes ( ravier de 1 kg ) 

en saveur écossaise Highland ( qualités de la viande Highland )

à l’achat d’un colis PREMIUM d’environ 6 kg 

9 colis au choix 

    • Premium classique -Environ 6 kg.  2 côtes à l’os, contre filets, aloyau, tache noire, filet d’Anvers, steaks variés. 26€ du kg.
    • Premium Filet pur  – Environ 6 kg.  Filet pur en pièce à trancher,  2 côtes à l’os, aloyau, tache noire, filet d’Anvers, steaks variés. 26€ du kg.
    • Premium Entrecôtes -Environ 6 kg.  Entrecôte en pièce à trancher, 2 côtes à l’os,  aloyau, tache noire, filet d’Anvers, steaks variés. 26€ du kg.
    • Premium Bavettes – Environ 6 kg.  2 bavettes, 2 côte à l’os, aloyau, tache noire, filet d’Anvers, steaks variés. 26€ du kg.
    • Premium Barbecue -Environ 6 kg. 2 côtes à l’os, viandes à griller, viandes marinées, viande à brochettes. 26€ du kg.
    • Premium Fondue – Environ 6 kg. 2 côtes à l’os, 2 kg viande à fondue, contrefilets, aloyau, steaks variés. 26€ du kg.
    • Premium Italien -Environ 6 kg.2 côtes à l’os, escalopes,aloyau, contrefilets, steaks variés. 26€ du kg.
    • Premium roti – Environ 6 kg.2 côtes à l’os, 2 roastbeefs,contrefilets, aloyau, steaks variés. 26€ du kg
    • Premium Wok -Environ 6 kg. Filet pur en wok,2 côtes à l’os, aloyau, contrefilets, steaks variés. 26€ du kg.

A réserver pour livraison 9 ou 10 mai en saveur écossaise Highland

Livraisons assurées  à domicile en provinces du Hainaut, de Namur, du Brabant Wallon et à Bruxelles 

Pour réserver 

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Silence, ça pousse

Une haie implantée en novembre 2024 par l'Elevage de la Petite Suisse à Lompret - Chimay

L’Elevage de la Petite Suisse, c’est la passion des veaux et des vaches, c’est la passion du village de Lompret et de sa nature

L’Elevage de la Petite Suisse, c’est, aussi, le sens de l’engagement et d’actions concrètes

C’est, d’ailleurs, cette dynamique, vieille de 30 ans, qui nous a permis, récemment, d’être labellisé « C’durable », d’être lauréat du prix Hainaut Horizons 2024, …

C’est avec cette dynamique que nous avons intégré le nouveau Parc National de l’Entre Sambre et Meuse, et ce dès les prémices. 

Dans ce cadre, avec les conseils  de Natagora, en novembre 2024, mous avons implanté un micro verger familial et nous avons replanté à peu près 100 mètres de haie en espèces locales. Cette haie se trouve le long d’unede nos prairies,  le long du chemin de Montigny, un de ces chemins empruntés par de nombreux promeneurs.

Et, en ce printemps 2025, c’est l’occasion de faire un premier bilan. Et, bien, ça pousse, parfois timidement, parfois avec un peu plus de vigueur.

Prochaine étape, un petit entretien de débroussaillage entre les plants afin de limiter l’envahissement, la compétition, l’étouffement par les harbacées, orties, … 

Lompret, un des plus beaux villages de Wallonie, entre autres, pour sa nature, et l’engagement de ses habitants. Merci de respecter lors de vos balades 

Pour suivre les actus de l’Elevage de la Petite Suisse 

Abonnement à la newsletter 

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Cantine durable & cie, !!!! ou ???

Depuis quelques temps, la Wallonie, au travers de son gouvernement et d’acteurs publiques comme l’Apaqw,  oeuvre pour son Green Deal , autrement dit en français, pour une transition vers un système alimentaire durable.

Concrètement,  la cellune  » mangerdemain » met l’accent sur différents axes dont les plus emblématiques sont

  • des cantines durables
  • diminuer les pertes alimentaires
  • relocalisation de l’alimentation 

Bien évidemment,  la communication promeut  l’alimentation certifiée « Bio ». Or, il est évident que  le macaron « Bio » n’a pas l’exclusivité de proposer aux consommateurs des produits sains, durables, locaux. En effet, à titre personnel, pour mon Elevage de la Petite Suisse, j’ai opté pour une certification wallonne  » C’Durable ». Cette certification analyse les pratiques des éléveurs, les conseille, mais n’impose nullement des cahiers des charges, parfois discutables. Avec C’Durable, c’est remettre l’éleveur au centre décisonnel de la dynamique. Et, en plus ça coute moins cher à la collectivité vu qu’il n’y a pas de primes versées aux agriculteurs et éleveurs certifiés de la sorte.

D’un point de vue local, en Sud Hainaut- Namur, des initiatives concrètes commencent à émerger avec le soutien, entre autres, de la Fondation Chimay Wartoise, du Parc Naturel de Viroin Hermeton et Louis Jacques

Ainsi, le 26 mars dernier,  la ville de Chimay, par le biais d’une décision de son conseil communal, a décidé d’ implémenter  » cantine durable » dans ses différentes écoles communales

Sur Couvin, un établissement scolaire annonce  » sandwichs 100% locaux  » pour la rentrée prochaine

En ma qualité de producteur artisanal, certaines questions et remarques me turlupinent

  • Selon quels critères les producteurs locaux seront ils choisis pour fournir ces cantines durables?
  • Quel volume ?
  •  Je lis que des  » sandwiches jambon mayo » seront proposés. J’ose penser que pour le sandwich, de la farine locale sera employée. Mais, pour le jambon, ça va être difficile de recourir à du local. Il y a bien des artisans qui travaillent le jambon. Mais, il n’y a pas d’éleveurs de porc ou très peu. Alors, autant mener le raisonnement jusqu’au bout, et proposer  » sandwiches filet d’Anvers fumé ». C’est une pièce de viande bovine, il est possible de trouver des éleveurs sur la région, et des artisans disposés à proposer le produit fini  » filet d’Anvers »
  • Je lis  » salade de pâtes ». A nouveau, excepté Verogi à Yves Gomezée, il n’y a pas de producteurs de pâtes dans la région. Mais, il y a des producteurs de pommes de terre, acteurs du Circuit Court, comme La Ferme de l Eau Blanche à Virelles ». Alors, proposons des salades de pommes de terre déclinées avec oeufs, ou des légumes, ou des boulettes de boeuf ou de l’escavèche. La seue IGP locale qu’il serait bien de faire redécouvri à une un jeune public local. Notre terroir regorge d’une diversité de producteurs. Alors, mettons y de l’innovation pour ces repas.

Enfin, reste l’épineux problème du coût des cette restauration collective, certes locale, saine, durable, ainsi que de son accessibilité au plus grand nombre voir à tout le monde. Malgré les vertus sociales et micro économiques de cette démarche, et vu les finances publiques, un telle démarche doit se vouloir pérenne et, à terme, financièrement  

Petite info du 20 avril 

Prochainement  » saveur rosée » 

A découvrir https://bit.ly/440G0Fh

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C’est le printemps

L’agriculture, en général, et l’élevage des bovins, en particulier,  vivent au rythme des saisons.

Après un hiver sombre, pluvieux, .., voici, donc, venu le temps du printemps avec ses espoirs et ses travaux particuliers tant pour le bien être de nos veaux et  vaches que pour le bien être de nos prairies naturelles permanentes.

Ainsi, et je dirai, presque avant tout, tout d’abord, il convient d’apporter un soin particulier aux clôtures. En effet, l’hiver, il arrive qu’un arbre ou une grosse branche tombe sur la clôture. Et, il y a des interventions que j’ai un peu négligée en fin de saison passée. Alors, marteau, tenailles, tronçonneuse, .. et un peu d’huile de bras

Pour certaines parcelles, il faut aussi intervenir suite à des dégâts occasionnés, çà et là, par des sangliers avec la présence d’endroit ou le gazon a été retourné. C’est pas pour autant que les chasseurs m’offrent de la viande

Pour les veaux et vaches, c’est la sortie par phase et en premier, les vaches adultes qui sont, à la fois, bienheureuses de gambader, de se défouler après 6 mois un peu cloitrées en boxe,   et à la fois capables de supporter les quelques gelées nocturnes potentielles, les giboulées aussi appelées  » les veaux de mars », un vrai belgicisme

Il y aussi quelques génisses qui viennent de rejoindre le paturage, aussi. Ces dernières, qui ont toujours des besoins alimentaires pour assurer une bonne croissance, continuent à recevoir un peu de foin ainsi qu’un concentré protéinique et energétique.

Parfois, le souci, c’est d’équilibrer les lots dans les différentes prairies. En effet, les vaches et les génisses, c’est un troupeau, c’est une vie grégaire, mais c’est aussi des rivalités avec parfois des animaux qui sont poussés à l’écart du troupeau et quin’ont, dès lors, pas accès aux compléments.

Il faut convenir que pour l’instant, il y a peu d’herbe disponible. Il convient dès lors de ne pas surcharger les prairies soit, à peu près 1 vache par hectare. Et, en saison de pousse abondante, cette charge en bétail peut atteindre 3 vaches à l’hectare. Et, tout ça, juste avec des bons soins aux prairies permanantes naturelles sans apport d’engrais chimiques ni d’herbicide.

Pour les veaux de moins d’un an, il faudra encore attendre; A mon avis, ça sera vers le 1er mai 

Tout pour que tout le monde soit bien, les animaux et l’éleveur, heureux de voir ses génisses et vaches, ruminant d’aise  

 

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Prochainement, des Galloway

vaches Galloway sur l'Elevage de la Petite Suisse à Lompret

La race bovine Galloway est originaire du sud-ouest de l’Écosse, plus précisément de la région historique du Galloway, qui se situe dans les comtés actuels de Dumfries et Galloway.

On suppose qu’elle descend des bovins celtiques qui habitaient la région depuis l’Antiquité.
Dès le XVIIe siècle, la Galloway était déjà reconnue comme une race distincte, réputée pour sa robustesse et sa viande de qualité. Elle était appréciée par les éleveurs écossais pour sa capacité à prospérer dans des environnements difficiles caractérisés par des landes, des collines, des sols pauvres et un climat humide. Ces conditions ont contribué à façonner la rusticité et les qualités d’adaptation exceptionnelles de la Galloway.

Vu que la Galloway s’accommode très bien de prairies pauvres et de pâturages naturels, ça en fait une race idéale pour des systèmes extensifs ou l’entretien de paysages. Et, comme d’autres races rustiques, elle est élevée de manière extensive et, par conséquent, favorise la biodiversité et contribue à une agriculture durable.

Comme pour la plupart des races britanniques, Angus, Hereford,… et aussi certaines races françaises, la viande de Galloway est marbrée, avec une excellente répartition de la graisse intramusculaire, ce qui la rend tendre et particulièrement prisée pour sa saveur.En raison de leur alimentation principalement à base d’herbe de prairies naturelles permanentes, la viande est riche en acides gras oméga-3 et en nutriments bénéfiques.

A l’inverse de sa voisine la Highland, les Galloway sont naturellement dépourvues de cornes. Mais, ce sont des animaux de petite taille, donc de petit poids, avec un rendement  » viande » un peu déplorable. Comme souvent  » qualités » et « quantités » ne sont pas fortement corrélées.

 

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Du repos pour nos prairies permanentes naturelles

C'est la rentrée de nos Highlands

Comme éleveur soucieux du bien être de ses animaux et de ses prairies naturelles permanants, à mes yeux, laisser une période de repos à mes prairies  durant l’hiver, grosso modo du 15 novembre au 1er mars,  est essentiel.

Durant l’hiver, les plantes ralentissent leur croissance pour entrer en dormance. Ce repos permet aux graminées et aux autres espèces, source de la biodiversité prairiale, de récupérer et de se renforcer. Un pâturage continu en hiver, quand la végétation est faible, affaiblirait les plantes, rendant la prairie moins productive et moins qualitative au prochain  printemps. Cette période permet aux plantes de stocker des nutriments dans leurs racines, assurant ainsi une repousse vigoureuse dès le retour des températures plus clémentes.

Les prairies permanentes sont des écosystèmes qui abritent une grande diversité de plantes, d’insectes, et bien d’autres espèces. Le repos hivernal permet à ces espèces de se développer dans de meilleures conditions sans endurer les perturbations excessives du pâturage continu. Cette diversité  faunique et floristique est cruciale pour la résilience de l’écosystème : elle soutient la pollinisation, le contrôle des ravageurs et le maintien d’un équilibre naturel.

Les sols en hiver sont généralement plus humides, donc plus sensibles au compactage et cette année 2024, c’est encore plus d’actualité. Le passage des animaux et des machines sur des sols saturés d’eau entraîne un compactage qui limite la circulation de l’air et de l’eau dans le sol. En respectant une période de repos, on évite de comprimer le sol, ce qui préserve sa porosité et permet une meilleure infiltration de l’eau et une croissance optimale des racines au prochain printemps.

En laissant la prairie se régénérer durant l’hiver, on s’assure d’un couvert végétal de meilleure qualité pour l’alimentation animale. Cette pratique permet d’avoir un fourrage plus abondant et plus nutritif, essentiel pour la bonne santé de mes veaux et vaches.

Ce repos hivernal de mes prairies naturelles permanentes est un des éléments qui m’ont permis d’obtenir ce précieux label C’Durable ainsi de le titre de lauréat du prix Hainaut Horizons 2024

Envie d’en savoir plus sur la vie de l’élevage, voici la vidéo réalisée par Hainaut Développement Hainaut Horizons 2024

 

 

 

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Vaccination FCO, une stratégie responsable

FCO est un acronyme pour  » Fièvre Catharrale Ovine », parfois appelée  » maladie de la langue bleue », est une maladie virale qui peut aussi affecter les bovins à des dégrés divers, parfois assez dévastateurs. Comme pour d’autres maladies virales, le virus mute et, aujourd’hui, les experts parlent d’in sérotype 3.

Le virus de la FCO est transmis par un moucheron de l’espèce des culicoides. Pendant ces dernières années, la FCO était surtout présente dans le Sud de la France. Les conditions météorologiques exceptionnelles de cette année ont  permis  l’expansion de cet insecte juque chez nous , aussi  jusqu’au Pays-Bas  ainsi qu’en Allemagne.

La gravité des symptômes est fortement variable. Dans les cas graves, la maladie induit de la fièvre, des lésions buccales voire des avortements chez les vaches gestantes, et au pire de la mortalité.

L’inflamation associée à la FCO peut devenir chronique surtout au niveau des voies aériennes supérieures ( nasaux, pharynx) avec gonflement des muqueuses et hypersécrétion non purulente.

La vaccination est la seule approche pro active pour assurer le bien-être des animaux en évitant ainsi des souffrances inutiles. Et, la vaccination réduit le risque de propagation du virus et d’une épidémie au sein du troupeau. 

D’ailleurs dans certaines régions et certains départements français,  le vaccination est légalement obligatoire. En Wallonie, c’est l’ARSIA qui gère l’identification et la santé animale. Pour l’instant, cet organisme émet un conseil de vaccination tout en obligeant à déclarer les foyers – élevages dans lesquels des bovins malades ont été détectés. 

La vaccination est l’alternative à  l’application d’ insecticides sur les bovins. Cette option  » insecticide » est moins onéreuse et plus facile à mettre en place ( pas d’injection, juste  un spot-on, une application sur le dos du bovin). Mais le souci  de l’insecticide est sa présence résiduelle  dans les bouses , résidus fort nuisibles à la faune entomologique et toute la chaîne alimentaire qui en découle, jusqu’aux hirondelles, chauves-souris, et cie.

La vaccination constitue, certes, un investissement, en temps et en  €, mais contribue à la tranquilité de l’éleveur qui sait que ses animaux sont protégés.

Vacciner contre la FCO relève d’un engagement envers ses animaux, l’environnement, et envers soi-même.

Prochain épisode, la vaccination de rappel vers le 1er septembre 

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Eau de riz pour nos petits veaux

Eau de riz, alliée naturelle de nos petits veaux

Solution du rébus – Eau de riz pour nos petits veaux

Début juillet, c’est, à nouveau la saison des vêlages, une saison qui requiert beaucoup d’attention, tant autour du vêlage proprement dit qu’au démarrage des petits veaux.

Et, parfois, c’est un peu plus compliqué que prévu.

Ce samedi 20, notre petite génisse de race normande a commencé une épisode de diarrhée d’origine alimentaire. Notre génisse de 10 jours a été un peu trop gourmande en têtant au pis de sa mère et, en plus, le lait de sa mère, une vache normande, est particulièrement riche en matière grasse, Camembert oblige.

Face à cette diarrhée, notre alliée naturelle, c’est l’eau de riz

Facile à préparer, juste cuire du riz, peu onéreuse, l’eau de riz compte quelques bienfaits en cas de diarrhée

  • son amidon aide à absorber les fluides de l’intestin réduisant ainsi la fréquence et la fluidité des selles.
  • sa teneur élévée en électrolytes comme le potassium, le magnésium, le zinc contribue à la réhydratation du corps
  • douce pour l’appareil digestif,  et non irritante, l’eau de riz a un effet calmant sur le petit veau
  • son goût particulier en fait une boisson facile à faire boire au veau en substitution temporaire du lait maternel 

Quand tout va bien 36h à 48h après le début du traitement, c’est un retour progressif à la normal, c’est à dire , à la têtée directement au pis de la mère.

Toutefois en cas de diarrhée d’origine bactérienne ou virale, l’eau de riz  doit  être  associée à un traitement vétérinaire.

Dimanche 21, midi, soit 30 heures après le constat du début de diarrhée, c’est un retour vers une consistance plus normale des selles. mais la vigilance est encore de rigueur et l’eau de riz pour encore 24 heures en alternance avec des têtées au pis de la mère.

 

 

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Foire agricole de Libramont 2024

Lors de la prochaine foire agricole de Libramont, une double reconnaissance du fils conducteur, de la philosophie de vie de l’Elevage,  à savoir durabilité, authenticité et qualité et ce depuis plus de 20 ans.

Depuis plusieurs mois, l’Elevage a été labellisé « C’Durable ».  Ce label n’impose pas un cahier de charges mais certifie les pratiques mises en place au coeur de l’élevage et selon 3 axes, à savoir

  • engagements en faveur des biodiversités domestique et sauvage,( haies, races menacées, zéro insecticide, ..)
  • respect du bien-être animal ( alimentation saine, bétail en prairie naturelle, pas de césarienne,..)
  • et actions  concrètes pour le climat.( prairies puits de carbone, peu de mécanisation, …)

Et, à Libramont, sur le stand de la Fugea, vous pourrez, donc, découvrir, dans l’ambiance particulière de la foire,  les performances de notre élevage, aussi consultables sur https://www.c-durable.be/elevage-de-la-petite-suisse/

Petit scoop du moment, toujours fidèle à la même stratégie globale et environnementale, 3 actions devraient être, prochainement entreprises dans le cadre du nouveau Parc National de l’Entre Sambre et Meuse  ;

  • plantation d’un verger (pommiers, pruniers, poiriers, cerisiers) en variétés anciennes haute tige,
  • restauration de la parcelle dite à Silex au coeur du massif forestier  du Camp Romain à Lompret   
  • et plantation d’une haie de petits fruitiers pour l’avifaune

Retour à cette foire de Libramont et plus particulièrement à la journée du lundi 29 juillet au cours de laquelle Saveurs Paysannes organise une apéro  et nos saucisses sèches 100% viande bovine y seront à déguster. C’est une reconnaissance, bien légitime, de la qualité intrinsèque de ces dernières 

Pour ceux et celles qui ne le savent pas encore, en 2023, l’Elevage s’est lancé dans l’aventure de l’innovation en proposant des saucisses sèches 100% viande bovine, aujourd’hui, disponibles en paquet de 250g. Et, c’est pour le consommateur, l’assurance de manger

  • du sain, rien que de la viande bovine
  • du gouteux, viande de races rustiques
  • et du local. made in Lompret – Chimay

A découvrir sur la boutique de l’Elevage 

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Positive Attitude

préparez votre barbecue pour ce 23 juin

Soleil et 23° annoncés pour ce 23 juin.

Adoptez la  » positive attitude » et prévoyez votre barbecue.

Ca tombe bien, il est possible de réserver en saveur  » génisse Simmental » pour livraisons à domicile ces 21 et 22 juin 

La Simmental est cette célèbre race suisse reconnue internationalement pour sa capacité à produire un lait goutêux apprécié au travers du Gruyère et des fromages  » raclette » ainsi qu’une viande qui exhalent le parfum des prairies permantes naturelles

Et, voici, 4 colis BARBECUE au choix 

    • Colis Barbecue XL -Environ 9 kg. Côte à l’os, viandes à griller, viandes marinées, 1 kg viande à brochettes, 1 kg steak haché, 2 kg mergez, 2 kg saucisses barbecue. 18€ du kg.
    • Colis Barbecue M – Environ 6 kg. Viandes à griller, viandes marinées, 1 kg viande à brochettes, 1 kg mergez, 1 kg saucisses barbecue. 20€ du kg.
    • Colis Barbecue S – Environ 3 kg. Viandes à griller, viandes marinées, 1 kg saucisses barbecue. 22€ du kg.
    • Colis Barbecue 4 étoiles -Environ 5 kg. Côte à l’os, viandes à griller, viandes marinées, viande à brochettes. 26€ du kg.

Livraisons assurées en provinces du Hainaut, de Namur, du Brabant Wallon et à Bruxelles 

A réserver par mail à Hugues Derzelle – Petite Suisse

Autres colis proposés, à découvrir via le lien la boutique de l’Elevage de la Petite Suisse 

 

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